Une grève au port de Rotterdam ? Une épidémie impactant certaines récoltes ? Des intempéries destructrices, ou, au contraire, une saison particulièrement productive ? Avec l’accroissement de la spéculation, ce type d’incident rend le prix des produits alimentaires particulièrement volatil, au grand dam des restaurateurs qui peinent à s’assurer d’acheter au prix juste.
C’est donc pour les y aider que depuis 2017, la société Foodomarket, basée à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) propose une marketplace à prix négociés dédiée aux professionnels du secteur. Afin d’accélérer son développement, notamment aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, elle vient de lever 8,5 millions d’euros auprès d’Alven Capital, un financement complété par un prêt bancaire de 2,5 millions d’euros.
Prix transparents
« Le pricing des produits alimentaires est très opaque. En général, les prix ne sont pas affichés, et sont déterminés entre le fournisseur et l’acheteur. Or, les restaurateurs ne sont pas des traders et n’ont pas nécessairement une idée du prix juste », explique Eric Nivoix, cofondateur de Foodomarket. « Nous nous occupons donc de déterminer ce prix, de le négocier et de l’afficher. Nous agissons en outre comme tiers de confiance, en remboursant les éventuelles erreurs de livraison ». Pour les grossistes, le système a l’avantage de leur donner facilement accès aux restaurants indépendants, sans mobiliser un grand nombre de commerciaux.
L’objectif : déployer son modèle sur le territoire français, alors que 70 % de son activité se déroule aujourd’hui en Ile-de-France, accélérer ses phases test à New York et Londres et déployer de nouvelles verticales.
Nouveaux clients
« Nous souhaitons par exemple créer une catégorie de produits antigaspi, de plus en plus demandée par les restaurateurs, mais aussi par les fournisseurs, désireux de se débarrasser de stocks à dates courtes », assure Eric Nivoix. « Or, il faut pour cela travailler les modèles de valeur, prospecter les fournisseurs et affiner la gestion des stocks. Nous allons donc passer de 15 à 30 salariés cette année, en recrutant notamment des développeurs ».
A terme, l’entreprise souhaiterait connecter l’ensemble des acteurs de l’agroalimentaire, permettant également aux grossistes ou aux coopératives de s’échanger des stocks. Mais au vu de la complexité du sujet, le dirigeant reconnaît qu’il faudra sans doute une troisième levée de fonds pour mettre ce système en place.
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