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Résultat des législatives : tous les scores, Attal appelle à une « majorité plurielle »

, Résultat des législatives : tous les scores, Attal appelle à une « majorité plurielle »

Au lendemain des résultats de premier tour des législatives 2024, qui ont placé le RN en position de force, la campagne a repris de plus belle. TF1 organisait lundi soir une édition spéciale du 20 Heures dans laquelle Attal, Bardella, Bertrand et Glucksmann étaient invités.

22:35 – Marine Tondelier « toujours en colère » sur la question des désistements

FIN DU DIRECT – Conviée sur le plateau de C à vous sur France 5 lundi soir, Marine Tondelier a redit toute sa « colère » alors que certains membres de la majorité présidentielle font la différence entre Nouveau Front populaire et La France insoumise. « Dans la majorité, certains sont dignes : Gabriel Attal, Stéphane Séjourné, Emmanuel Macron et Clément Beaune… Ils font le travail. Manifestement, ce n’est pas à la portée de tout le monde », a déclaré la patronne des écologistes, alors que Bruno Le Maire a dit refuser lundi matin de voter pour un candidat La France insoumise en cas de duel avec le Rassemblement national.

21:44 – « J’appelle à la mobilisation pour empêcher l’extrême droite de s’emparer du pouvoir », lance Manuel Bompard

Invité de France 2 lundi soir, l’insoumis Manuel Bompard a estimé que « dimanche, les Français doivent choisir entre deux positions politiques ». Pour lui, « l’enseignement du premier tour est que Gabriel Attal ne sera plus Premier ministre ». Manuel Bompard a ensuite appelé à la mobilisation pour empêcher l’extrême droite de s’emparer du pouvoir », jugeant au passage que la majorité présidentielle n’était « plus en mesure de gouverner le pays ».

21:17 – L’appel du footballeur Jules Koundé à « faire barrage à l’extrême droite »

« J’ai été déçu de voir quelle direction notre pays prend, avec un grand soutien à un parti qui est contre nos valeurs, les valeurs de vivre ensemble, les valeurs de respect, qui souhaite diviser les Français », a confié en conférence de presse ce lundi Jules Koundé, avant d’appeler : « Il y a un deuxième tour […] ça sera important de faire barrage à l’extrême droite, au parti du Rassemblement national. »

20:51 – Xavier Bertrand appelle à la création d’un « gouvernement provisoire de la République »

Dernier convié sur le plateau du 20 Heures de TF1, Xavier Bertrand, qui représente Les Républicains, a appelé à la création d’un « gouvernement provisoire de la République ». Et de défendre : « Ça existait à une époque où il fallait reconstruire. Et là, ce serait clairement pour reconstruire notre pays et sortir notre pays de l’impasse dans laquelle monsieur Macron l’a plongé. » Pour que ça marche, il en est convaincu : « C’est les candidats Les Républicains et les indépendants qui peuvent changer la donne. »

20:41 – « Voulons-nous que notre pays soit dirigé par la famille Le Pen ? », interroge Raphaël Glucksmann

« Je prends la main de toutes celles et de tous ceux prêts, d’ici le 7 juillet, d’ici ce dimanche, à empêcher une majorité absolue du Rassemblement national parce que c’est ça la seule question qui doit nous obséder aujourd’hui », a d’emblée posé le socialiste Raphaël Glucksmann, avant d’à nouveau requalifier les élections législatives de « référendum ». Pour lui, la question est la suivante : « Voulez-vous, oui ou non, de l’extrême droite au pouvoir en France ? Voulons-nous que notre pays […] soit dirigé par la famille Le Pen ? »

20:32 – Gabriel Attal défend l’idée d’un « troisième chemin »

À son tour convié sur le plateau du 20 Heures de TF1, le Premier ministre a estimé que « le risque, c’est que le RN dispose d’une majorité absolue » à l’Assemblée. Et Gabriel Attal de mettre en garde : « Ce serait catastrophique pour les Français. » Le chef du gouvernement a ensuite défendu l’idée d’un « troisième chemin qui est celui d’avoir une Assemblée nationale plurielle au sein de laquelle [les candidats du camp présidentiel seraient] présents pour protéger les Français des hausses d’impôts, des projets de divisions ». Questionné sur les désistements en faveur de candidats LFI, le Premier ministre est resté vague, ne prononçant à aucun moment le nom du parti insoumis. Il a toutefois précisé que « désistement ne veut pas dire ralliement ». 

20:23 – Jordan Bardella dénonce l' »alliance du déshonneur »

Invité sur le plateau de TF1, le patron du Rassemblement national a fustigé au lendemain des résultats du premier tour des législatives l' »alliance contre-nature » passée, selon lui, entre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon, pointant les nombreux désistements annoncés depuis un peu moins de 24 heures par les différents camps dans l’objectif de faire barrage au RN. « Je suis assez surpris de voir un président venir au secours d’une mouvance d’extrême violence, qui appelle à l’insurrection, qui veut organiser le désordre dans la société française », a réagi Jordan Bardella, avant de dénoncer : « C’est une alliance du déshonneur. Les Français ne sont pas dupes. C’est un choix entre Mélenchon et nous. » L’eurodéputé a terminé par appeler les électeurs à rester mobilisés dimanche prochain.

20:05 – Nathalie Arthaud déplore le retrait du candidat NFP face à Élisabeth Borne

Sur X, la porte-parole de Lutte ouvrière regrette que dans le Calvados, le candidat du Nouveau Front populaire se soit retiré pour, selon elle, « se range[r] derrière [Élisabeth] Borne au second tour ». « Mme 49:3 et retraite à 64 ans est devenue un rempart contre le RN ?! » questionne-t-elle, avant d’ajouter : « Voilà comment les politiciens de gauche écœurent les travailleurs. Et après ça, ils leur feront la leçon et déploreront la dépolitisation ! »

19:41 – « Jean-Luc Mélenchon est l’idiot utile de tous ceux qui ne veulent pas se désister », estime Laurent Berger

Auprès de l’AFP, dont BFMTV se fait l’écho, l’ancien patron de la CFDT a mis en garde contre tout « accroc dans le désistement républicain » lundi soir. Estimant que « Jean-Luc Mélenchon est l’idiot utile de tous ceux qui ne veulent pas se désister », Laurent Berger a dit, lui, soutenir « tous les candidats et toutes les candidates qui seront dans un duel contre le Rassemblement national. Qu’il s’appelle François Ruffin, je le soutiens. Qu’il s’appelle Boris Vallaud, qu’elle s’appelle Élisabeth Borne… »

19:18 – Attal, Bardella, Bertrand et Glucksmann invités du 20 Heures de TF1

Ce lundi, TF1 va recevoir Gabriel Attal, Jordan Bardella, Xavier Bertrand et Raphaël Glucksmann, a annoncé la chaîne. Pour la première fois de la campagne de ces législatives, un candidat des Républicains est convié avec les représentants des partis majoritaires aux élections.

19:02 – Face à la multiplication des désistements pour contrer le RN, Ciotti dénonce une « alliance Macron-Mélenchon »

Depuis l’annonce des résultats du premier tour des législatives, les désistements de candidats arrivés en troisième position se multiplient avec l’objectif affiché de faire barrage au Rassemblement national associé avec Éric Ciotti. De quoi inquiéter ce dernier qui n’a pas manqué de dénoncer sur X une « alliance Macron-Mélenchon » qui « s’écrit sous les yeux ébahis de millions de Français ».

18:43 – L’appel de Clémentine Autain à la direction de LFI

Alors que Danielle Simonnet et Alexis Corbière, députés La France insoumise sortants non réinvestis par LFI pour ces élections législatives, sont arrivés en tête dans leur circonscription, Clémentine Autain a lancé « un appel solennel à la direction de La France insoumise » en conférence de presse, demandant à ce que soient retirés ses candidats face à ces deux ex-députés LFI. Pour elle, maintenir ces candidatures serait « une contre démonstration face à ce moment de grande gravité où nous devons être soudés pour aller battre l’extrême droite ».

18:22 – Plus de 170 candidats se sont déjà retirés avant le second tour des législatives

Alors que la clôture des candidatures est prévue mardi à 18 heures, Le Monde comptabilisait ce lundi soir à 18 heures pas moins de 173 désistements. Dans le détail, 122 candidats de gauche se sont retirés afin de faire barrage au Rassemblement national, 50 candidats du camp présidentiel et un issu des Républicains. Avant les désistements, 190 duels étaient prévus, contre 306 triangulaires et 5 quadrangulaires. Après désistement, Le Monde compte 361 duels, 136 triangulaires et trois quadrangulaires.

18:01 – « Jordan Bardella ne veut débattre qu’avec des hommes », déplore Marine Tondelier

Patronne des écologistes, Marine Tondelier doit prochainement débattre avec le patron du Rassemblement national. Pourtant, depuis ce lundi, Jordan Bardella a recommencé à demander à l’insoumis Jean-Luc Mélenchon de débattre avec lui, n’hésitant pas à s’attaquer directement à son ego. Pour Marine Tondelier, ces tentatives sont la preuve officielle que Jordan Bardella « ne veut débattre qu’avec des hommes », regrette-t-elle sur X.

17:40 – « Seul le RN peut avoir une majorité absolue à l’Assemblée nationale », insiste Gabriel Attal

En réunion lundi après-midi avec les candidats du camp présidentiel aux élections législatives, le Premier ministre a insisté sur le fait que « seul le RN peut avoir une majorité absolue à l’Assemblée nationale. Ni le NFP ni la LFI ne peut avoir de majorité absolue ». Il a estimé que « l’enjeu est donc clair : veut-on confier les pleins pouvoirs et le destin du pays au RN ? » Gabriel Attal a particulièrement insisté sur l’importance de « priver le RN d’une majorité absolue, quitte à se désister ». À ceux qui n’auraient pas encore fait le choix de se retirer pour faire barrage au Rassemblement national, le locataire de Matignon a déclaré : « On se relève de l’échec, mais on ne se relève pas du déshonneur. »

17:19 – Barrage contre le RN : déjà une centaine de désistements

Au lendemain du premier tour des élections législatives dont les résultats ont donné le RN en tête, l’heure est au retrait. Comme le relaie l’AFP, dont Le Parisien se fait notamment l’écho, une centaine de candidats de gauche comme de la macronie, qui s’étaient pourtant qualifiés pour le second tour, ont annoncé se désister afin de faire barrage à l’extrême droite. Parmi eux, on compte trois ministres, mais surtout une majorité de candidats issus du Nouveau Front populaire.

17:06 – Gérard Larcher roule pour Aurore Berger

Le président du Sénat, Gérard Larcher, a fait savoir sur X que le 7 juillet, « fidèle à [s]on engagement de faire barrage aux extrêmes et fidèle à [s]es valeurs », il soutiendra la candidate de la majorité présidentielle Aurore Berger, en lice dans la 10e circonscription des Yvelines face au Rassemblement national et à La France insoumise.

16:45 – Débat des législatives : « Jordan Bardella a peur de Marine Tondelier », dénoncent les écologistes

Alors que le patron du Rassemblement national ne cesse d’appeler Jean-Luc Mélenchon à venir débattre, les écologistes se demandent de quoi peut bien avoir peur Jordan Bardella pour préférer débattre face à l’Insoumis plutôt qu’avec leur patronne Marine Tondelier. Les écologistes dénoncent également le fait que « l’invisibilisation des femmes est l’un des principaux dangers de l’extrême droite », rappelant au passage l’absence de figures féminines dans les débats et les médias ces dernières semaines, défendant que « les femmes ont leur place en politique et doivent être représentées ». Avant de tacler : « En réalité, Jordan Bardella a peur de Marine Tondelier, qui habite et milite à Hénin-Beaumont (62) et qui ne connaît que trop bien les méthodes du Rassemblement national. »

16:32 – Le candidat de la majorité se désiste dans la Loire

Candidat à sa réélection, le député du camp présidentiel Quentin Bataillon est arrivé en troisième position dimanche au premier tour des élections législatives dans la 1ère circonscription de la Loire. Ce lundi, sur X, il a annoncé se retirer pour faire barrage au Rassemblement national. « Durant deux ans, au quotidien et avec sincérité, j’ai agi et j’ai voté dans le seul intérêt des habitants de la 1ère circonscription de la Loire », explique-t-il, avant d’annoncer son désistement « en conscience et en responsabilité ».

16:17 – Berlin estime que la victoire du RN « ne peut laisser personne indifférent »

À l’occasion d’une conférence de presse avec son homologue lettonne, la cheffe de la diplomatie allemande, Annalena Baerbock, a rappelé qu’avec Berlin, Paris porte « une responsabilité particulière pour notre Europe commune » et que, de fait, « personne ne peut rester indifférent […] si chez notre tout proche partenaire et meilleur ami, un parti qui voit dans l’Europe le problème et non la solution arrive largement en tête ».

16:05 – « La défaite du camp présidentiel est loin d’être une déroute », juge le politiste Florent Gougou

Dans une tribune publiée par Le Monde ce lundi, le politiste Florent Gougou estime que le score de 20,8% au premier tour des élections législatives « reste élevé » et serait même « signe que le bloc central s’enracine dans le paysage politique français ». Pour le chercheur, le camp Macron a même « nettement amélioré ses résultats » comparé aux élections européennes, passant ainsi de 14,6% à 20,8%. S’il reconnaît que « ses perspectives en nombre de sièges restent très limitées », Florent Gougou estime tout de même qu’après déjà sept années au pouvoir, mais aussi « un rejet devenu viscéral de la personnalité d’Emmanuel Macron » pour une partie des électeurs, « cette performance ne doit pas être sous-estimée ».

15:43 – Jordan Bardella accuse Jean-Luc Mélenchon de « fu[ire] les débats »

Depuis le début de la campagne des élections législatives, les oppositions tentent de faire monter le polémique Jean-Luc Mélenchon sur le ring des débats. Figure importante de la gauche, Jean-Luc Mélenchon, comme certains de ses insoumis, n’en sont pas moins clivants. Si beaucoup d’électeurs de gauche votent pour le Nouveau Front populaire car ils en font partie, nombreux sont également ceux qui se sont détourner de ce bulletin en raison justement de leur présence. Ce lundi, Jordan Bardella a à nouveau appelé Jean-Luc Mélenchon à venir débattre. Ce à quoi s’est opposé l’Insoumis. Comme pour piquer son égo, le patron du RN a lancé sur X : « Dois-je comprendre que vous fuyez le débat ? »

15:35 – On sait combien il y aura de duels et de triangulaires au 2e tour

Les élections législatives seront composées avant tout de duels, compte tenu des désistements à attendre pour le 2e tour. Hier soir, on comptait 306 triangulaires, il ne devrait en rester que 145 après le retrait des candidats arrivés en troisième position et acceptant de s’écarte du scrutin. On comptait hier soir 190 duels, il y en aura en réalité 352, selon les calculs du Monde.

15:15 – Pour Raphaël Glucksmann, les législatives sont devenues « un référendum pour ou contre l’extrême droite »

Sur X, le socialiste Raphaël Glucksmann a estimé ce lundi, au lendemain du premier tour, que désormais, il ne s’agissait plus d’élections législatives, mais d' »un référendum dont la question est simple : voulons-nous que l’extrême droite prenne le pouvoir dans notre pays ? »

Le résultat du premier tour des législatives, qui a eu lieu ce dimanche 30 juin, a donné le RN et ses alliés en tête, en capacité d’obtenir plus de 289 sièges, c’est-à-dire la majorité absolue dans la future Assemblée nationale. Voici les résultats officiels dévoilés par le ministère de l’Intérieur :

Parmi les résultats significatifs de ces législatives, on note la victoire au premier tour de Marine Le Pen dans le Pas-de-Calais et du socialiste Olivier Faure en Seine-et-Marne. François Hollande est en ballotage favorable en Corrèze, comme Elisabeth Borne dans le Calvados, qui pourrait être élue grâce au désistement du candidat de la gauche. Laurent Wauquiez est aussi en ballotage favorable dans la Haute-Loire, François Ruffin est quand à lui en difficulté dans la Somme. L’ancien ministre Clément Beaune a été battu par le socialiste Emmanuel Grégoire, élu dès le premier tour à Paris. Le patron du PCF, Fabien Roussel est aussi éliminé dès le premier tour, tout comme l’ancien ministre Jérôme Cahuzac.

Si l’élection est avant tout nationale, le résultat des législatives doit s’observer localement. Les résultats qui émergent dans chaque circonscription donnent des enseignements précieux sur le paysage politique en France en 2024. Trouvez votre circonscription dans la carte ci-dessous pour consulter le détail des résultats : 

Les élections législatives en France s’organisent selon un mode de scrutin majoritaire uninominal à deux tours. Le pays est divisé en 577 circonscriptions, chacune élisant un député à l’Assemblée nationale. Lors de l’annonce des résultats, pour être élu au premier tour, un candidat doit obtenir plus de 50% des suffrages exprimés et un nombre de voix au moins égal à 25% des électeurs inscrits. Si aucun candidat ne remplit ces conditions, un second tour est organisé.

Seuls les candidats ayant recueilli au moins 12,5% des voix des électeurs inscrits lors des résultats du premier tour peuvent se présenter au second tour. Si un seul candidat remplit cette condition, le candidat arrivé en deuxième position est également qualifié. Le second tour voit souvent des alliances et des désistements stratégiques entre partis pour maximiser les chances de victoire contre un adversaire commun.

Les résultats des élections législatives déterminent la majorité parlementaire à l’Assemblée nationale. Le parti ou la coalition de partis ayant le plus grand nombre de sièges forme généralement une majorité à l’Assemblée, qui peut être absolue (289 sièges) ou relative, et donc orienter de manière plus ou moins forte les priorités du pays et les lois qui seront votées pendant la mandature. Une majorité parlementaire stable permet au gouvernement de fonctionner efficacement et de mener à bien ses réformes. En cas d’absence de majorité absolue pour un seul parti, des majorités et donc des gouvernements de coalition peuvent se former.

Le gouvernement étant responsable devant le parlement, qui peut le valider ou le rejeter lors d’un vote de confiance ou après le dépôt d’une motion de censure, il doit donc être en phase avec cette majorité sortie des urnes. Après des résultats des législatives, le Président de la République nomme donc généralement un Premier ministre, issu de son parti en cas de victoire ou du parti majoritaire si une autre sensibilité l’emporte.

Si le Président de la République et la majorité parlementaire appartiennent à des partis opposés, une situation de cohabitation se produit. Dans ce cas, le Premier ministre, qui détient le pouvoir exécutif au quotidien, peut avoir des vues politiques divergentes de celles du Président, entraînant des tensions et des compromis.

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