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Séjours linguistiques à Angoulême : SILC l’historique placé en liquidation judiciaire

, Séjours linguistiques à Angoulême : SILC l’historique placé en liquidation judiciaire

Après plusieurs années de redressement judiciaire, dans un contexte encore plus compliqué pour l’entreprise depuis le covid et les crises qui se sont succédé, l’entreprise Silc, telle qu’elle existe aujourd’hui sur le Rempart de l’Est à Angoulême, a définitivement fermé ses portes. Elle honorait ses versements dans le cadre du plan de redressement jusqu’à ce que sa situation devienne intenable. Cessation de paiements le 15 septembre dernier. La décision a été renvoyée le temps de permettre à l’administrateur d’examiner « les marques d’intérêt que des repreneurs potentiels, étrangers au département, portaient à l’entreprise, précise Jean-Louis Sutre. Cela n’a pas abouti ». Sauf à la liquidation. Même si la porte reste entrebâillée.

Le covid et les crises

Silc, qui a compté jusqu’à quatre-vingts salariés dans les années 90, avait été placée en redressement judiciaire en septembre 2015. « Il y a vingt ans que je traîne un passif que j’ai découvert [après la reprise de l’entreprise, NDLR] », se désole aujourd’hui Jean-Luc Maury-Laribière. Association à l’origine, Silc avait été reprise en 1988 par Jean-François Vieira, ancien patron des patrons en Charente, associé aux frères Pitcho. Jean-Luc Maury-Laribière, actionnaire minoritaire devenu président du directoire, a alors dû gérer le passif. Il aura fallu attendre 2010 pour que Jean-Michel Roques, l’ancien directeur, licencié et accusé de malversations, qui avait un temps monté une structure concurrente, soit condamné par la cour d’appel à rembourser Silc. La machine n’a jamais pu être renflouée.

« Pendant six ou sept ans, j’ai honoré les remboursements », souligne le PDG. Et le covid lui est tombé dessus. « Deux années sans aucune activité, rappelle-t-il, mais je n’ai licencié personne. On a utilisé toutes les possibilités pour mettre l’équipe en formation ». Il a espéré une reprise après le covid. « Elle a été moins importante que prévu. Ça n’a pas marché », reconnaît le chef d’entreprise.

« On arrête les frais »

En septembre, il n’a pas pu payer. « On arrête les frais », dit-il aujourd’hui, en voulant garder espoir pour la boîte, ses près de quatre millions de chiffre d’affaires et ses vingt-cinq salariés. « L’entreprise est rentable, si elle est déchargée de ce boulet. L’équipe de fond, c’est une bonne quinzaine de personnes », indique Jean-Luc Maury-Laribière. La liquidation sera effective au 10 janvier. C’est la date butoir jusqu’à laquelle la porte de l’administrateur judiciaire reste ouverte pour une proposition de reprise. Jean-Luc Maury-Laribière veut y croire. « J’y ai mis beaucoup d’énergie. Si je peux faire perdurer cette belle équipe… »

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